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Lucy : le cerveau selon Luc Besson

Selon Luc Besson, l’humain n’utiliserait que 10% de ses capacités intellectuelles, une idée reçue qui sert de base à une nouvelle production au scénario timbre-poste pour laquelle le réalisateur s’offre le luxe de tourner avec Scarlett Johansson.

Besson insiste puisque Lucy ressemble à une énième de ses productions actions saupoudrée de quelques plans à la Nikita mais le réalisateur pousse son concept jusqu’au bout, allant jusqu’à filer une drogue à Scarlett, produit qui lui permettra d’acquérir des pouvoirs surnaturels.

Les images qui suivent donnent le ton : le réalisateur filme son actrice en tshirt blanc cintré et fait tout exploser. En utilisant que 10% de ses capacités donc. Reste à savoir si ce sera drôle à voir avec des potes ou plutôt destiné au direct to vidéo. Réponse le 6 août prochain.

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7 Comments

  • par MR.AKA
    Posté jeudi 3 avril 2014 10 h 55 min 0Likes

    Aïe Aïe Aïe, le basculement a eu lieu avec le premier taxi, depuis c’est la chute dans le gouffre sans fin, Besson a définitivement renoncé…

  • par Ryujii
    Posté jeudi 3 avril 2014 11 h 04 min 0Likes

    Il y a un côté Limitless dans ce film mais version Besson quoi…

  • par klaatu
    Posté jeudi 3 avril 2014 13 h 34 min 0Likes

    Rendons Luc ce qui appartient à Besson, grace à lui on sait qui est triquart aux US

  • par junichi
    Posté jeudi 3 avril 2014 14 h 09 min 0Likes

    Il doit avoir un gros dossier sur elle pour l’obliger à tourner pour lui…

  • par klaatu
    Posté jeudi 3 avril 2014 16 h 44 min 0Likes

    Elle est en France, et elle ne parvient pas a etre unique tete d’affiche seule la bas… pas compliqué

  • par broack Dincht
    Posté vendredi 4 avril 2014 20 h 39 min 0Likes

    le succès de ce film pourrait motiver marvel pour un film sur la veuve noire

  • par Sylvester Stallone
    Posté mardi 12 août 2014 23 h 24 min 0Likes

    Comme beaucoup, Besson n’a pas quitté les 90’s. Besson maintenant s’interroge sur sa propre existence en tant que cinéaste et sur ce qu’il nous transmettra. Sous des faux airs de voyage cosmique à travers les âges façon The tree of Life, j’aurais préféré avoir un film uniquement centralisé sur le cours magistral de Freeman. Besson ne nous laisse qu’un mauvais goût dans la bouche de réchauffé sous des faux airs intellos. C’est mauvais

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