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Rencontre avec Teresa Palmer

Comme je vous l’annonçais hier, nous avons rencontré l’équipe de Numéro Quatre à la fois sur le tapis rouge lors de l’avant-première du film mais aussi dans le cadre d’interviews en tête à tête.

On commence d’abord avec Teresa Palmer, qui incarne Numéro Six. Vous découvrirez dans la vidéo qui suit, en anglais mais retranscrite en français, une comédienne qui n’est pas seulement la jolie blonde de service dans un film mais quelqu’un d’impliqué et de passionné par son métier.

Voici cette rencontre…

Qu’avez vous ressenti en jouant une fille qui botte des culs ?
C’était cool ! C’est une guerrière, forte, brave et une femme très agréable. C’était une vraie bénédiction de l’incarner !

Vous aviez été approché pour incarner Talia dans le projet Justice League et il y a des rumeurs à propos du personnage dans The Dark Knight Rises. Etes vous candidate pour le rôle ?
Non, je ne le suis pas. Je pense qu’ils cherchent une actrice avec un plus gros CV que le mien.

Et que pensez-vous de Marion Cotillard, si la rumeur est exacte ?
Elle serait bien dans le rôle et si ça se fait je serai contente parce que c’est une de mes actrices favorites. Elle est si belle et attachante et semble très chaleureuse.

En plus de Justice League, vous avez auditionné pour Spider-Man. Vous êtes lectrice de comics et fan de super héros ?
Oui j’aime beaucoup ça. Je suis aussi fan de science-fiction et je suis sur un projet de film de SF. J’ai toujours été très attirée par les super héros, leurs pouvoirs. D’ailleurs, j’ai beaucoup aimé avoir des super pouvoirs dans ce film [Numéro Quatre]. C’était un peu un de mes rêves de pouvoir sauter partout, tabasser des aliens

Vous avez réalisé un documentaire à propos de la « Happy Africa Foundation ». Qu’est ce que c’est ?
Je suis allé au Kenya l’année dernière, j’ai rencontré les enfants là et le centre… J’y ai pris ma petite caméra Flip et j’ai tourné un petit documentaire dans un style très « gorilla style » avec une équipe de trois personnes et on a demandé aux enfants ce qui les rend heureux. C’était intéressant parce qu’ils sont très joyeux. Ils ne sont matériellement pas très riches mais le sont quand même autrement, spirituellement, dans leur communauté. J’y ai appris beaucoup de choses. C’était très beau.
C’est un documentaire en travaux, il n’est pas terminé. Je suis toujours au montage.

Hier, nous avons parlé de Track Town. Vous avez aussi réalisé une pub…
Non, je ne l’ai pas réalisée mais j’étais dedans.

Pensez-vous à devenir d’avantage une réalisatrice qu’une actrice ?
Non, pas plus réaliser qu’être actrice. C’est juste une autre facette du cinéma. Mais j’adore aussi bien réaliser, qu’écrire, que produire et jouer. J’aime être stimulée intellectuellement et une actrice a beaucoup de temps morts. Donc si je veux continuer cette carrière sans perdre la tête, je dois remplir mon temps avec quelque chose. Moi j’ai besoin d’être créative.
C’est cool, ça me donne un moyen d’écrire mes propres personnages. Si j’ai un rôle rêvé, je n’ai qu’à me l’écrire et produire un film dans lequel je serai et j’aime avoir l’opportunité de le faire.

Vous avez tourné Say Nothing, un thriller australien. Que pouvez-vous nous en dire ?
Je viens de finir le tournage avec Joel Edgerton. C’est l’histoire de deux couples qui partent en randonnée au Cambodge. L’un d’eux disparait… L’histoire raconte de la dynamique autour de ces gens après cet évènement tragique. C’est une histoire très sombre avec des mystères à découvrir et beaucoup de fantastique mais aussi une dimension ancrée dans le réel. C’était cool de retourner en Australie et de tourner un film à la maison.

J’ai entendu parlé d’un autre projet, Rue De Tournon, et une partie de l’histoire se déroule en France. Avez-vous appris un peu de français ?
[en français] Oui oui. Je m’appelle Teresa.
[en anglais] J’ai commencé à apprendre l’anglais à l’école mais je ne me rappelle pas de grand chose. Une des choses dont je me souviens est…
[en français] qu’est ce que tu vas faire pendant le weekend ?
[en anglais] C’est tout. Je crois que ça veut demander ce qu’on fait en fin de semaine, c’est ça ?
C’est amusant que ça soit tout ce dont je me souvienne. Je vais devoir en apprendre d’avantage.

Qu’est ce que Tahyna Productions ?
C’est la société de production que j’ai créé avec mon amie Tahyna Tozzi qui m’a aidé sur Track Town. On partage beaucoup d’idées, on échange, on écrit ensemble, on collabore sur des choses. C’est une bonne amie à moi, une grande actrice, belle et captivante, impressionnante à l’écran. Je suis donc ravie de la connaitre et j’aimerai beaucoup réaliser un film dans lequel elle serait.

Vous avez beaucoup de projets à produire ?
Je n’ai rien produit jusqu’à présent mais j’ai beaucoup de projets en cours, produire mes propres projets. J’aime ce challenge !

A part Track Town, vous avez des projets en tant que réalisatrice ?
Pas vraiment de réalisation. En dehors de Track Town sur lequel je suis concentré et le documentaire pour la Happy Africa Foundation, j’ai d’autres projets dont quelque chose intitulé Looking for Alaska…

Qu’est ce que c’est ?
C’est une histoire que j’ai écrite à propos d’un couple qui finissent séparés. C’est une histoire d’amour, un peu dans la veine de 500 Jours de Summer.

Est ce qu’il y aura une suite à l’Apprenti Sorcier ?
Non, il n’y en aura pas.

Et Numéro Quatre ?
J’aimerai beaucoup qu’il y en ait une. Il y a tant de choses à explorer dans l’histoire mais ça dépendra du succès du film. Si les recettes sont suffisantes, nous serons ravis de revenir.

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