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Kaamelott au cinéma : le Retour du Roi

Vous pensiez qu’il glandouillait bien assez comme ça dans la réalité pour qu’on puisse se permettre d’optimiser le fictionnel ? Vous pensiez qu’il n’avait pas de conseil à recevoir d’un clodo ? Le Roi Arthur pourrait pourtant bien reprendre Excalibur du rocher dans les prochaines années.

Tard dans la nuit de ce lundi 2 novembre, Alexandre Astier était l’invité de Laurent Goumarre sur France Inter pour évoquer l’Exoconférence et rencontrer Hubert Reeves (émission à écouter ici). Il a également évoqué (à 1h40) la fin de ses problèmes de droits vis à vis de la série Kaamelott.

« Faire tourner cette baraque… et guider tous ces débiles jusqu’au Graal, c’est sur moi que c’est tombé. Les dieux ont trouvé une bonne pomme pour s’arracher les cheveux avec cette histoire de dingues, ils sont pas près de la lâcher. » C’est pas faux. L’affirmation est d’autant plus vrai puisqu’Astier a déclaré au micro de France Inter :

« Je me retrouve aujourd’hui avec Kaamelott dans la situation que j’avais désirée. (…) J’ai recommencé à écrire (…) pour la suite au cinéma »

En 2013, Astier expliquait que la suite de Kaamelott était bloquée pour des problèmes de droits, ce qui a permis à l’auteur de se lancer sur scène avec Que Ma Joie Demeure puis L’Exoconférence.

« C’est la gerbe mais c’est comme ça. Je me bats et me battrai bec et ongles pour avoir le droit de faire Kaamelott dans des conditions qui me conviennent (c’est quand même bibi qui bosse le plus sur cette affaire, il faut pas déconner), honnêtes, équitables et où les moyens ne sont utilisés qu’à faire un beau film, pas à raquer des péages. »

Comme quoi, sur une échelle de 2 à 76, et là je préfère prendre large, de 2 à 71 on ne l’écoute pas, de 72 à 75, on ne l’écoute toujours pas, et seulement à 76 on le laisse faire ce qu’il a envie.

Reste maintenant à ce que les choses se fassent et on finira par savoir si le Graal est un bocal à anchois ou une gamelle contenant une carcasse de poulet.

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